Conférence ministérielle de l’EHEA 2020

19 novembre 2020 (Rome/en ligne)

Rapport flash sur le Panel de dialogue mondial “Vers 2030 : à quoi devrait ressembler la coopération mondiale dans le domaine de l’enseignement supérieur et comment la construire”.

Intervenants :

  • Sarah Anyang Agbor*, Commissaire aux ressources humaines, à la science et à la technologie, Commission de l’Union africaine
  • Leonie Nagarajan*, Directrice du département éducation de la Fondation Asie-Europe (ASEF)
  • Imane Benrabiaa*, membre de l’ASAF – Forum des étudiants et anciens élèves africains, Maroc
  • Jamie Merisotis*, Président/directeur général, Fondation Lumina, USA
  • Carlos A. Romero Rostagno, Responsable de l’enseignement supérieur, ministère de l’éducation et de la culture, Uruguay

(* intervenants proposés par l’unité C3)

Modérateur : Eva Egron-Polak – expert, ancien secrétaire général de l’Association internationale des universités

L’objectif de ce panel était d’identifier les nouveaux développements et opportunités qui pourraient améliorer l’avenir de l’enseignement supérieur (HE) au niveau mondial.
Les participants ont discuté des éléments de justification d’un dialogue politique mondial sur l’enseignement supérieur, de la manière dont la future coopération mondiale dans le domaine de l’enseignement supérieur peut être construite et de la manière dont les politiques et les institutions de l’enseignement supérieur peuvent contribuer à la réalisation des objectifs de développement durable des Nations unies (et pas seulement du SDG4) d’ici 2030.
Ils ont notamment abordé les sous-sujets suivants :
– le rôle des institutions d’enseignement supérieur – y compris la dimension de la recherche – pour atteindre les objectifs de développement durable,
– assurer une mobilité de qualité pour les étudiants, le personnel et les chercheurs, en particulier dans le contexte d’une pandémie,
– l’identification d’homologues clés pour renforcer le dialogue mondial de l’EEES,
– les implications sociales et les défis éthiques pour les étudiants et les enseignants, en particulier ceux amplifiés par la pandémie (par exemple, l’évaluation des performances des étudiants en ligne).
Le panel a conclu qu’un dialogue mondial réussi doit être inclusif, équitable, durable, contrôlé et ciblé.

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